
Regarder et compter ses premiers cheveux laissés sur l’oreiller ou dans le lavabo va être pour beaucoup un moment angoissant. La perte des cheveux est pourtant un processus régulier et normal. Quel signe doit nous s’inquiéter et nous faire envisager un traitement médical contre la perte de cheveux qui soit à la fois scientifique et efficace ? Voici les solutions médicales pour ne plus perdre de cheveux.
La perte de cheveux : c’est quoi précisément ?
Il est habituellement normal de perdre environ 50 cheveux par jour. Des phénomènes transitoires peuvent accroître ce chiffre amis si cela perdure, c’est a priori anormal.
Pourquoi perd-on les cheveux ?
Les cheveux sont des poils et comme eux, ils ont une durée de vie limitée : c’est le principe du cycle pilaire. Ce cycle s’organise en 3 phases : la phase de pousse (dite anagène), la phase de repos (dite catagène) et enfin une phase d’involution (dite telogène) finissant par la « mort » du cheveu, sa chute.
Un cycle pilaire s’étale plusieurs années, avec une phase télogène de 6 mois et 12 % des cheveux en phase télogène à un moment donné : ils vont donc tomber au plus tard dans les 6 mois.
Perte de cheveux : quand s’inquiéter ?
Si l’on on commence à perdre plus de 100 de cheveux par jour durant au moins 8 semaines, cette chute de cheveux est considérée comme anormale : il convient alors de consulter un spécialiste cheveux Nice pour essayer d’en comprendre l’origine, d’évaluer le risque éventuel de calvitie et de proposer un traitement anti-chute cheveux performant.
Quelles sont les causes expliquant la perte de cheveux ?
Une perte de cheveux transitoire doit être distinguée de la calvitie d’origine androgénétique de nature définitive. Toutefois, les premiers signes peuvent être similaires, sachant qu’une chute passagère peut un jour devenir définitive.
Les causes physiologiques
Ces causes normales doivent être reconnues car elles ne doivent pas nous stresser : elles sont censées être passagères et revenir à la normale sans soins.
Le changement de saison
La chute des cheveux suit un rythme saisonnier car c’est aussi le rythme… de nos hormones : c’est l’enseignement de la chronobiologie.
Pourquoi la chute cheveux est-elle plus forte au printemps et à l’automne ?
C’est simple : nous savons tous que nous synthétisons plus d’hormones sexuelles aux beaux jours, printemps et été, sous l’action de la durée des jours et de la température.
Présents en forte quantité chez l’homme et en petite chez la femme, les androgènes sont connus pour stimuler la pousse des poils et donc du cheveu.
A l’automne se trouvent donc tous les cheveux ayant poussé l’été : proportionnellement, une partie va tomber mais comme ils sont nombreux, la partie qui tombe sera quantitativement plus élevée. C’est la perte de cheveux automnale, comme les feuilles d’un arbre qui ne reçoivent plus assez de sève.
Au printemps, c’est l’inverse : les nouveaux cheveux en croissance se mettent à repousser les vieux cheveux entrés en phase télogène, diminuant la durée de cette dernière : c’est comme si les cheveux destinés à chuter dans les 6 mois tombaient un peu tous ensemble. C’est la chute de cheveux printanière.
Les changements hormonaux féminins
Des modifications hormonales transitoires se retrouvent aussi chez la femme : grossesse, ménopause ou prise de certains contraceptifs.
Durant la grossesse, le taux élevé de progestérone bloque l’action des androgènes, d’où énormément de cheveux en phase télogène : après l’accouchement, ce « barrage progestéronique » chute… comme les cheveux alors proportionnellement plus nombreux à tomber.
D’autres hormones peuvent d’ailleurs affecter le cycle pilaire, comme celles de la glande thyroïde ou de la glande hypophysaire. C’est pourquoi un bilan hormonal est souvent prescrit pour réaliser un diagnostic chute de cheveux Nice.
Les causes pathologiques de chute des cheveux
Toutes les raisons ne sont pas graves et certaines sont même faciles à solutionner.
Parmi ces différentes raisons, citons notamment :
- les chocs émotionnels, la fatigue ou le stress
- les carences nutritives en minéraux, oligo-éléments (zinc, soufre…), acides aminés soufrés ou vitamines (A, B, PP…)
- les causes iatrogènes résultent de médicaments, comme évidemment une chimiothérapie. Dans ce cas, les cheveux se remettent à pousser environ 4 semaines après l’arrêt du protocole
- les maladies de peau touchant le cuir chevelu comme dermite séborrhéique ou la pelade.
Comment venir à bout de la chute de cheveux ?
Un spécialiste cheveux Nice va d’abord réaliser un diagnostic précis, pour décider du meilleur traitement. La perte de cheveux peut se soigner de différentes manières selon les origines et les symptômes.
Injections PRP Cheveux Nice
Ces injections PRP Cheveux vont ramener dans le cuir chevelu des cellules souches et facteurs de croissance, obtenues grâce aux plaquettes sanguines (PRP cheveux : plasma riche en plaquettes).
Ce procédé booste le bulbe capillaire, avec la possibilité de le combiner à de la mésothérapie afin d’apporter par voie transdermique les nutriments utiles à la pousse du cheveu. Ces deux techniques sont complémentaires, tel le jardinier qui planterait des graines et y rajouterait de l’engrais.
La technique de LED Cheveux Nice
Le LED Cheveux optimise les résultats de ces deux procédés ci-dessus en utilisant en synergie la combinaison de différentes ondes. Le principe est de de stimuler le derme du cuir chevelu. Miltahead® associe l’énergie de 3 technologies : infrarouge, champ magnétique et laser.